Auto guérison, renforcer sa conviction :
Tout d’abord, je voudrais vous remercier de l’attention que vous portez à l’auto guérison ! A chaque article, un petit coup d’œil sur la statistique m’indique que vous êtes nombreux à le consulter. Un tel constat constitue un encouragement à sa poursuite !
Je vous sollicite à nouveau pour deux choses. Si le sujet du pouvoir de l’esprit vous parle, transmettez mes coordonnées à vos connaissances et surtout postez vos commentaires et vos expériences car à terme, je dois baser la réflexion sur une assise plus large que ma petite expérience. Bon ! Je sais que toute idée doit faire son chemin et je suis sûr de votre alliance !
Guérir par sa pensée est un défi si simple qu’il fait peur ! En prononçant de tels mots, je crée immédiatement chez celui qui n’a pas de foi en lui, une réaction de rejet à mon égard, la pire réaction étant bien sûr pour ceux qui ont été frappés dans leur cœur par des disparitions empreintes d’un mystère !
L’important, je vous le rappelle, n’est pas ce que je dis, c’est ce que vous ferez et que vous découvrirez de vous ! Et vous découvrirez en vous beaucoup plus de réponses à vos questions que par les explications du «système ». Je sais cela, aujourd’hui, par expérience. Mais il est difficile de parler de ce sujet sans générer le doute, voire un peu plus !
Dernièrement, j’ai rencontré un ami qui fait partie d’un groupe de connaissances communes. Cette personne se pose des questions sur ses propres pouvoirs et nous partageons les mêmes convictions sur l’infinie puissance qui est en nous. Au cours de la conversation, il m’a dit « N’as-tu pas le sentiment d’être incompris par 90 % des gens ? » « Bien sûr que oui !» lui ai-je répondu et « même parmi mes plus proches qui refusent de voir des preuves évidentes de ce que produit mon cerveau sur moi ». «J’ajouterai que les personnes avec qui je travaille refusent le plus souvent de voir les points d’améliorations qu’elles opèrent sur elles, et même en cas de guérison… elles n’y croient JAMAIS ou très rarement tant elles sont habituées à croire à ce qui est extérieur à elles, tant il est plus facile de faire confiance au cachet du médecin qu’à son propre pouvoir curatif ! »
Mon ami renchérit « J’ai appris par les gars d’ici que tu avais écrit un livre », ce à quoi ils ont tout de suite rajouté « tu sais, il est un peu bizarre, il prétend qu’on peut se soigner par la pensée …on ne comprend pas trop ce qu’il dit ! » J’ai signifié à mon interlocuteur que je savais cela et que ça ne me gênait plus car aujourd’hui, j’ai fait mienne cette citation extraite de conversation avec Dieu de ND Waslh :
«Tant que tu t’inquiéteras de ce que les autres pensent, tu seras en leur pouvoir. Ce n’est que lorsque tu n’auras plus besoin de l’approbation de personne que tu pourras assumer ton propre pouvoir.».
Je vous assure que faire corps avec cette affirmation me procure une immense libération ! C’est avec de telles citations que je perçois la puissance des mots. Lorsqu’ils entrent en nous, ils deviennent notre loi. Ils nous protègent de cette énorme chape du conditionnement qui nous entoure, ce que j’appelle le conditionnement sociétal. Lorsque tu ne penses pas comme la majorité, tu es forcement « bizarre » ! Je tiens à vous exprimer que notre avenir se construit par les pensées que nous produisons à l’instant même ! C’est lorsque nous saisissons que nous sommes liés à un engrenage qui ne nous sert pas du tout que nous pouvons changer notre destinée !
S’ il est vrai que deux têtes valent mieux qu’une, que consulter les autres et tenir compte de leur opinion peut nous aider, s’il est aussi vrai que leur perspective peut être plus riche que la nôtre et qu’ils peuvent nous apporter des commentaires pertinents, qu’un conseil peut nous éviter des détours inutiles et des frustrations, tout cela dit, la chose que j’ai apprise, et dont vous avez probablement également conscience, c’est qu’il est merveilleux de les écouter, mais il est tout aussi important de savoir quand le temps est venu de les ignorer, d’ignorer complètement tout le monde ! Pourquoi ?
LA VIE A UNE RELATION PERSONNELLE AVEC CHACUN D’ENTRE NOUS. Il y a des élans, des visions qu’elle ne nous communique qu’à nous seuls ! Nous sommes tous habités d’une âme et guidés personnellement, mais la plupart du temps, nous préférerons ne pas nous faire confiance. C’est tellement plus simple de se « conformer ». Ainsi je me suis rendu compte que même si les autres peuvent nous aider, il y a une chose qu’ils ne peuvent JAMAIS FAIRE : être NOUS ! C’est pourquoi, je considère que pouvoir ignorer l’opinion des autres est aussi important que de savoir les écouter … Il y a des temps pour tout et il faut trouver celui qui fait que notre propre magie peut émerger en nous extirpant de la pensée collective !
Ce petit exemple vécu et l’analyse que je fais des difficultés que l’on rencontre avec « la puissance sociétale » -le terrible conditionnement qui aveugle les gens au point de leur faire perdre tout contact avec l’essence même de leur vie- montre bien que les mots sont un agent et un « matériau » qui va nous permettre, soit de reconstruire notre pensée, soit de nous laisser happer par nos croyances ! Je répèterai sans cesse que la différence entre une « croyance en soi » et la « foi en soi » repose sur le fait bien décrit par J Murphy qui stipule que « La foi, c’est en quelque sorte ce que notre raison et nos sens nient .
C’est ce que je fais maintenant, je crois en ce que je ne vois pas, en sachant que ce que je ne vois pas est cependant bien en moi, et si proche que je n’avais jamais pris soin de l’écouter, tant je préférais faire confiance à ce que je « voyais, entendais, touchais » !
Le début de l’accès au secret enfermé en nous commence par la perception de la portée de cette phrase. Etre capable d’aller au-delà de ce que notre raison, nos sens nous permettent de voir (et donc de croire) demande un effort ….de renoncement.
Il faut bien saisir à ce stade et je ne le répéterai jamais assez, que c’est notre foi qui crée le processus curatif en nous et pas nos croyances ! Pour imager : vous pouvez croire que votre médecin est le meilleur du monde, mais si vous continuez en même temps de croire que vous êtes « maudit » d’avoir attrapé ce mal, vous avez très peu de chance de vous en sortir ! Vos croyances vont vous perdre, alors qu’en gardant la même confiance dans votre praticien, et en remplaçant votre « croyance en la malédiction » par la foi en « une force supérieure en vous qui vous guérit », vous permettrez au principe curatif de circuler en vous !
Je vous garantis que ça dépasse tout ce que vous pouvez imaginer comme puissance mise à votre service. Bien sûr, il y a du travail à faire sur soi et ça, personne ne peut le faire pour vous ! Comme je vous l’ai déjà suggéré, -Si j’entends j’oublie, si je vois je retiens, si je fais je comprends-. C’est ainsi que je me suis mis à exiger la santé auprès de mon inconscient en ignorant toute la suspicion que je pouvais générer, et en me concentrant que sur mon désir de revitaliser mon énergie.
C’est en étant confronté à la suspicion de l’autre qu’on entrevoit l’auto suggestion comme une saine gymnastique contre le rationalisme obtus qui mène vers l’intolérance aussi sûrement que vers une forme de fanatisme . Je trouve que la norme est le plus grand des fanatismes, observez le culte de l’apparence et les dégâts qu’ils provoquent en terme de frustrations pour les gens qui ne sont « jamais bien, jamais assez beaux, jamais assez maigres, jamais assez si ou ça ». Mes proches me reprochent mes positions et me disent que je n’ai pas à m’exprimer ainsi, car je n’ai pas forcément raison, ai-je forcément tort ? Tout ce que nous croyons « dur comme fer » est aussi mou que de la guimauve dès lors que nous nous donnons le droit de douter et de ne pas voir celui qui est différent de nous comme « bizarre » ! Pour moi maintenant, c’est la « norme » qui est souvent très bizarre !
Si je suis le seul penseur de mon univers comme vous du vôtre, si je suis donc responsable, comme vous, de la façon dont je pense à l’égard des autres, je sais maintenant que je dois entretenir des pensées de bien et ces pensées de bien se reproduiront. Je vous souhaite le même bien que je me souhaite et comme je m’en souhaite énormément, je suis sûr que vous en ressentirez les effets !
Je vais couper ici cet article, le traiter en une seule partie le rendrait trop long. Nous continuerons sur la conviction lors de notre prochaine rencontre. Merci encore de votre confiance.
À bientôt !